Infection urinaire du chat

Vous constater que votre chat essaye d’uriner en permanence avec difficulté, il n’a que quelques gouttes qui s’échappe ou rien du tout, l’urine est parfois trouble ou accompagné de sang. Le chat urine à l’extérieur de la litière, présence de sang dans les urines. C’est probablement une infection urinaire du chat. Lorsque nous constatons que notre chat a une infection urinaire, il faut absolument le traiter.

Les problèmes urinaires chez le chat sont nombreux ainsi que les causes, voici quelques conseils pouvant prévenir l’infection urinaire du chat ; boire beaucoup d’eau, de la nourriture de haute qualité ayant un faible de taux de magnésium, faire de l’exercice, poids santé, on peut donner de la nourriture en conserve, nourrir le chat à des heures fixes, ainsi que la quantité de nourriture donnée, plutôt qu’à volonté, une litière propre en tout temps, donnez des aliments mouillés comme l’eau de thon, jus de saumon, jus de palourdes, etc. Les chats en raffolent.

Il existe un remède homéopathique pour prévenir des insuffisances rénales fonctionnelles, des troubles urinaires et des cystites. Je vous recommande ce remède contre les problème urinaires des chat . Ce T-UREX est un complexe dont les composants ont été choisis pour leur efficacité sur les différents états morbides susceptibles d’atteindre aussi bien le système urinaire que le système rénal. Il est recommandé également pour les chats castrés qui présentent souvent des cystites récidivantes et des obstructions des voies urinaires par des calculs ou des struvites et cristaux. Ce produit peut aider pour la santé des reins de votre animal de compagnie

Milieu de vie de notre chaton.

Le chaton, tout comme le chiot a besoin de grandir dans un milieu sécuritaire, pour bien se développer. L’environnement doit être adapté selon leur âge pour éviter tout danger, surtout lorsqu’ils seront seuls pour jouer et explorer leur habitat. Comme le chaton, et le chiot sont aventureuses et n’ont pas conscience du danger. Pour cela, attention au milieu de vie de notre chaton.

Le chiot tout comme le chaton, adorent courir et sauter, mais parfois au passage, ils peuvent percuter ou basculer des objets, qui malheureusement peuvent tomber sur eux et les blesser, attention aux chutes dans les escaliers ou d’un meuble, car parfois ils se trouvent coincer entre les meubles. Le chaton adorent grimper un peu partout, mais entre autres les rideaux sont très attirant, mais ceux-ci peuvent s’enrouler et l’étouffer, les fils électriques sont un danger également parce que le chaton adore les mordre, les rubans, les cordes ou les petits objets sont attirants, mais également dangereux pour l’étouffement ou quelques fois il reste coincé dans leur intestin et peuvent provoquer une obturation, cela est également valable pour le chiot qui lui aussi adorent mâchouiller tous sur leur passage. Les petits gestes quotidiens peuvent être source d’intoxication pour le chaton et le chiot, comme le savon que l’on met dans le lave-vaisselle, le moment où la porte est ouverte, il y a danger pour que l’animal aille lécher le produit, un seau d’eau avec un produit nettoyant à l’intérieur en plus qui peuvent le boire, ils peuvent tomber dedans et se noyer, pareille pour la cuvette, le couvercle devrait être fermé en tout temps. Attention lorsque vous ferez votre lavage, parce que le chaton, et également le chiot adorent se cacher dans un panier à linge ou bien pénétrer à l’intérieur de l’appareil lorsque la porte est ouverte. Néanmoins, attention au milieu de vie de notre chaton.

Sécurisons le milieu de vie de notre chaton.

Tenir les portes fermées aux endroits interdits est une bonne solution. Il faut agir avec le chaton, ou le chiot un peu comme avec les jeunes enfants. Lorsque l’on quitte la maison placer l’animal dans un endroit totalement sécuriser, comme ça nous partons l’esprit tranquille. Mais fort heureusement lorsqu’ils grandissent, ils sont moins attirés par tous ces objets qui les entourent et sont également plus calmes. Mais en attendant ce moment, profiter donc du chaton, et du chiot pour les câliner, jouer et surtout les aimer. Un enclos pour les chatons peut s’avérer pratique

Le chat Bengale

La chatterie Shaghera fut fondée pour l’amour des chats avant tout. Voilà ce qui nous a conduits à réaliser ce beau projet.

Nous sommes complètement tombées sous le charme du chat du Bengale lorsque nous l’avons découvert il y a 5 ans.
Chaque Bengale est unique de par sa robe et son caractère, c’est un chat athlétique et actif. Joueur et curieux, il vous épatera par son agilité. Il est force, grâce et équilibre. Il est même réputé pour être hypoallergène. Sa fourrure est celle de son ancêtre, le léopard d’Asie. Doux et soyeux, il n’en perd pratiquement pas.

Cette année, pour 2011, nous sommes très fières de vous présenter l’ajout à la famille, les Highlands Lynx. Un look Wild, une démarche féline et un caractère réellement affectueux, ces chats au look exotique sauront vous charmer. Nos reproducteurs arrivent directement des États-Unis. Nous ne sommes qu’une poignée d’éleveurs à travers le Canada à pouvoir vous présenter cette magnifique race de chats. Mes Bengale et mes Highlands Lynx ne demandent pas plus d’entretien que les autres chats.
Leur côté sociable, leur curiosité et leur joie de vivre en font les compagnons de rêve.

Nous sommes extrêmement fières de nos chats et chatons. Choisi avec soin, chacun d’eux rend notre rêve possible. Côtoyer la beauté et l’exotisme du félin en ayant une complicité sans pareil avec celui-ci.

Gabrielle et Michelle

Shaghera Bengal
www.chatsbengal.com
www.shagherabengalcat.com

Le chat Devon Rex

HISTOIRE DU DEVON REX

C’est en Angleterre, dans le Devonshire que la race fit son apparition. En 1960, Mlle Cox découvrit près d’une mine désaffectée un chaton à la fourrure frisée. Elle décida de l’adopter et il fut croisé avec une chatte tricolore qui donna un mâle frisé lui aussi, du nom de Kirlee.

Il existait déjà une race de chats à poils frisés du nom de Cornish rex. Elle prit contact avec un éleveur de cette race et lui proposa Kirlee pour améliorer ses chats. Tous les chatons nés de Kirlee avaient pourtant les poils raides. On comprit que le gène responsable de cette fourrure n’était pas le même chez les Cornish rex et chez Kirlee. Afin de fixer ce gène mutant particulier, on fit reproduire Kirlee avec beaucoup de consanguinité.. Ce n’est qu’en 1979 que le Devon Rex fut reconnu comme race à part entière, totalement différente du Cornish Rex.

CARACTÉRISTIQUES

Le chat Devon Rex est une race de chats de taille moyenne. Sa tête est petite par rapport au corps, il a de grandes oreilles, des pommettes saillantes un museau court et de grands yeux ovales, ce qui lui donne son air typique de lutin.

Son corps est fin et musclé, avec une poitrine large et une encolure fine. Les pattes sont assez hautes et fines, les pieds petits et bien arrondis.

Sa fourrure est constituée uniquement de trois types de poils (sous-poil, poil de jarre et poil de couverture).  Elle est entièrement bouclée et la densité du poil varie, il est plus épais sur les parties supérieures (tête, dos, queue, …), le ventre et la poitrine sont par exemple dotés de poils plus fins. Les moustaches sont rares, courtes et frisées également. Il faut vraiment toucher un Devon pour ne plus jamais oublié sa douceur.

Vous pouvez visiter mon site au : http://rexdevon-bengal.com/devonacc.htm

Élevage de Rex Cornish

Les chats font partie de la famille depuis mon tout jeune âge. En effet,
ayant été élevée moi-même dans une maison remplie de chat. Mes parents élevaient des Persans, j’ai appris à
aimer et à côtoyer la race féline au quotidien. J’ai donc débuté mon propre élevage de Rex Cornish et Oriental depuis maintenant 10 ans.

Mon expérience acquise dans ce domaine fait de moi une éleveuse
consciencieuse et responsable. Je considère l’élevage comme une passion
naturelle que j’assume avec une grande responsabilité, du sérieux et
évidemment beaucoup d’amour.

Nos chatons partent vers des familles pouvant leur offrir des soins, de la
tendresse et une présence régulière. Je sélectionne d’ailleurs chacune
des familles avec une grande minutie!
J’élève du rex corniche et de l’oriental a poil court
www.chatterielaquebecoise.com

Anne Leclair

Éleveuse de Devon Rex

Mon nom est Carolyn et je suis éleveuse de Devon Rex depuis 2007. Je suis tombé en amour avec cette race pour plusieurs raisons : le caractère exceptionnel, des chats très câlins, de plus,  leur magnifique fourrure est courte et frisées. Étant une personne à la maison, l’élevage est pour moi  sorte de zoothérapie et une passion. Mes chats sont tous mes enfants, donc ils sont très choyés.

Mon élevage familial  de Devon Rex est petit, ces à dire : 4 femelles et 1 mâle. Je n’ai aucune cage chez moi et mes chats font partie intégrante de la famille libre dans la maison.  Je préfère la qualité à la quantité. Tous mes chats sont enregistrés à l’Association féline canadienne donc pure race.

Dans les prochaines chroniques, je vais vous faire connaître cette belle race, démystifier ce qu’on dit : le chat dit ‘Hypo allergène’ et plus encore,  donc c’est un rendez-vous!

Le nom d’enregistrement de ma chatterie est Passion Devon, vous pouvez visiter mon site au : http://rexdevon-bengal.com/devonacc.html

Comment mettre des gouttes à un chat

Il est très important de nettoyer les yeux de son chat. En effet, ces derniers sont prédisposés aux infections, soit à cause de saletés soit suite à une bagarre.

La première étape pour l’administration de gouttes désinfectantes est de placer votre chat sur une table, à votre hauteur. Vous pouvez mettre devant les pattes du chat une serviette afin d’éviter les coups de griffes inopinés! Laissez ensuite tomber une goutte de désinfectant à l’intérieur de son œil. Et enfin, ouvrez de nouveau l’œil de votre animal pour lui administrer une noix de pommade puis refermez le afin que le produit se diffuse.

La dysplasie

La dysplasie est un problème pour le chien. La douleur, comme tout autre organe à la structure défaillante ou désorganisée, une articulation fonctionne mal. Elle connaît des frottements, une usure mécanique et suivant le cas elle va provoquer des réactions de la part de l’organisme lésé. Ces dernières seront en rapport direct avec la morphologie et le mode réactionnel de l’animal considéré. Si par exemple il est très souple et s’adapte bien, il va compenser par ses tensions musculaires une laxité tendineuse exagérée et ne souffrira guère. Si c’est un musculaire hyper réactif, il va avoir tendance à fabriquer des ostéophytes, ajoutant des irrégularités mécaniques et une cause de souffrance supplémentaire. La gêne occasionnée va causer des douleurs et se révéler invalidante.

Problème invalidant

C’est évident, toute affection ostéo articulaire va entraîner une gêne et à terme une incapacité dans les mouvements. Progressivement le chien atteint de dysplasie coxo-fémorale a du mal à se déplacer. Il devient invalide vers 3 à 4 ans dans le pire des cas, c’est-à-dire au moment où son maître termine le dressage et envisage sérieusement d’utiliser son animal favori. Et un chien de travail incapable de se déplacer seul devient très vite une lourde charge à déplacer et à soigner. De plus la souffrance continuelle a rarement un effet bénéfique sur son caractère. Devenu grognon il peut se laisser aller à donner un coup de dent à un enfant qui le dérange ou lui fait mal. La conclusion est évidemment l’euthanasie donc la mort du chien avant la date programmée naturellement.

Problème pour le propriétaire

Le chien de travail, il est facile de comprendre qu’un propriétaire de chien qui s’est investi personnellement, qui a sacrifié du temps, de l’argent et des loisirs à former un animal de travail, ne soit pas particulièrement heureux lorsqu’il constate que tout a été fait en vain.

Problème économique

A la recherche d’une solution, le propriétaire va trouver le vétérinaire et demander un traitement et un pronostic. La réponse sera un pronostic très défavorable et une alternative thérapeutique. Soit un traitement lourd, à vie des troubles du genre rhumatismal avec à terme une baisse progressive de l’état général, soit une ou plus souvent deux interventions chirurgicales (les deux hanches ne peuvent être opérées en même temps) avec rééducation, le tout à un tarif qui peut atteindre ou dépasser le triple du prix d’un chiot pour un seul coté. Il ne faut pas non plus oublier que tout traitement n’a pas un succès garanti et que toute intervention entraîne un certain risque, dont le moindre n’est pas toujours celui de l’échec.

Problème sentimental

Il n’est jamais agréable de voir souffrir un animal que l’on aime, un compagnon de jeu ou de travail. Il n’est pas non plus particulièrement agréable de voir ce compagnon devenir grincheux et éventuellement dangereux sous l’effet de la souffrance, même si cette dernière est plus ou moins bien jugulée par un traitement médical lourd, instauré pour le reste de la vie de l’animal.La prévention, Si le travail de sélection de l’éleveur a été correct (bien des éleveurs que je connais essayent en général de travailler ainsi) il suffit de ne pas gaver son chien ni de le pousser à grandir trop vite, pour éviter bien des problèmes. Rappelons à ce sujet qu’un excès d’énergie ou de protéines dans la ration a un effet néfaste certain sur la dysplasie coxo-fémorale et l’ostéodystrophie coxo-fémorale. (Nous conseillons de ne pas dépasser 25 % de protéines chez les molosses en croissance à partir du 4e mois).

Problème pour l’éleveur

La garantie risque économique, l’héritabilité de la dysplasie coxo-fémorale est environ de 0,35. Cela signifie que, malgré toutes ses précautions, un éleveur ne sera jamais entièrement certain de ne pas retrouver un jour ou l’autre un chiot plus prédisposé aux ennuis et notamment à cette affection. Il risque alors de se retrouver en butte à des récriminations de ses clients et, même à de possibles ennuis juridiques.

Problème de sélection

Il est donc plus que conseillé de faire radiographier les chiens et de tenir compte des résultats pour faire de l’élevage canin et prévoir les accouplements. Compte tenu du fait que la dysplasie coxo-fémorale n’est qu’une tare parmi d’autres, que l’on ne doit pas négliger le type, l’expression et tant d’autres qualités, il est à craindre que l’élevage plaisir ne se transforme en élevage souci.

Problème pour le vétérinaire

Problème de diagnostic, c’est malheureusement une évidence aujourd’hui on n’est pas capable de faire un diagnostic clinique de dysplasie coxo-fémorale. Il faut faire appel à l’imagerie médicale et ce généralement sous anesthésie générale. Pour pouvoir comparer entre eux des animaux de taille différente dans un but de sélection il faut s’affranchir des longueurs, donc recourir à des angles, des rapports. Ceci impose des images d’une excellente qualité prise sur des chiens en position toujours identique; et ensuite de comparer en deux dimensions des ombres portées d’un objet en trois dimensions, d’une véritable projection. L’obtention puis la lecture de cette dernière ne son pas évidente. Le résultat peut être entaché d’erreurs aux sources multiples et la marge d’erreur peut dans certains cas égaler voire dépasser la valeur mesurée.

Problème de pronostic

La gravité radiologique de la dysplasie coxo-fémorale n’a chez le chien, rien à voir avec le handicap engendré par l’arthrose qui en résulte. En effet on peut voir des individus trotter remarquablement alors que la radiographie révèle un état catastrophique des hanches. D’autres avec apparemment des dégâts bien moins prononcés, se retrouvent gravement handicapés. Cela est dû au fait que la dysplasie coxo-fémorale n’est pas douloureuse en elle-même; l’arthrose consécutive, dégénérescence articulaire ne l’est pas plus. Ce sont les frottements et surtout les phénomènes inflammatoires résultants des lésions, qui font mal. Or l’inflammation se surajoute a posteriori et varie énormément avec l’individu. D’aucuns s’enflamment pour un rien ; d’autres prennent les choses avec plus de calme. Cela reste vrai sur le plan moral comme sur le plan physique. La conclusion de tout ceci est que le vétérinaire aura bien du mal à prévoir si le chien qu’il examine sera ou non handicapé par les lésions constatées. Voici des produits qui peuvent peut être supporter les problèmes des articulations.

Problème de traitement

Le traitement médical de la dysplasie coxo-fémorale est à l’heure actuelle celui d’une arthrose (dégénérescence articulaire), compliquée ou non d’arthrite (inflammation articulaire). En aucun cas il ne peut réparer les os mal développés ou rongés par le mal. Il peut tout au plus avoir un effet palliatif et soulager la souffrance du sujet atteint. Avec le recul de mon expérience personnelle je trouve que l’homéopathie alliée à l’ostéopathie est préférable car elles n’ont pas d’effets secondaires et indésirables, offrent plus de chances de récupération fonctionnelle. De plus, comme les interventions ou médication ne se font qu’à la demande, on peut tranquillement traiter pendant longtemps. La plus grosse difficulté consiste en ce cas à trouver le praticien dûment formé qui convient à vous et à votre chien. Le conseil en élevage, en l’état actuel de nos connaissances:(loterie génétique lors de l’accouplement, transmission héréditaire d’une prédisposition due à plusieurs gênes différents, expression variable de la tare, influence de l’environnement notamment de l’alimentation et de l’exercice en excès ou en manque) il devient extrêmement difficile de conseiller l’éleveur intelligemment. Doit-on courir un risque modéré de dysplasie coxo-fémorale pour conserver ou améliorer d’autres qualités ? Doit-on au contraire tenter de l’éradiquer et se permettre d’appauvrir génétiquement une race à effectif confidentiel et se retrouver ensuite avec des chiens hors type ou incapables de remplir la fonction pour laquelle leur race a été créée ? Le juriste ou l’homme d’affaires répond non à la première question. Le généticien crie oui ! Le simple bon sens aussi. Le vétérinaire, écartelé entre deux solutions contradictoires, va tenter de ménager la chèvre et le chou quitte à jouer une fois de plus les pompiers lorsque l’accident est arrivé.

Problème pour le fabricant d’aliments

Le fabricant doit concevoir un aliment qui soit appétant, qui ne provoque pas l’élimination de déchets abondants, qui permette à un chiot de grande race de grandir et de se développer sans ennuis, donc pas trop vite ni trop lentement et satisfaire le désir de son client qui voudrait se retrouver avec un chien champion à 15 mois alors qu’il faut 3 ans minimum pour qu’il achève son développement harmonieux. La tentation d’accélérer les choses en forçant sur la nourriture ou en regardant du côté des hormones et autres dopants apparaît très, trop vite. Et en plus, cette nourriture doit être digeste, complète, inaltérable et pas trop chère!

Dominick Lanoue NDA

Ma fille et moi aimerions avoir un petit chien. De préférence un Yorkshire. Mais notre budget ne nous le permet pas pour l’instant. Comme vous le savez surement, c’est une race de chiens dispendieuse. Alors, nous avons décidé de faire une recherche sur les sites de petites annonces annonçant Animaux de race à donner? L’idée nous est venue d’un couple d’amis, qui ont trouvé leur bonheur avec un jeune labrador à donner, annoncé sur un site d’annonces classées.

Ma fille s’est donc mise à faire des recherches sur différents sites de petites annonces. Elle a trouvé quelques yorkshires à donner pour finalement se rendre compte que le tout était souvent des escroqueries. Nous sommes bien au courant qu’il existe des arnaques de tous genres sur internet. Mais, cette semaine, nous en avons découvert une concernant les animaux à donner.

Voici le procédé que ces personnes emploient pour vous escroquer :

Ils annoncent des chiens de races dispendieuses à donner ou à vendre à des prix très alléchants. Ils inscrivent plusieurs annonces pour le même chien, mais dans différentes villes et différents pays, ainsi que sur plusieurs sites de petites annonces. Voici le genre de commentaires que nous pouvons lire dans leurs descriptions : Animaux de race à donner? Animaux en bonne santé, vaccinés, vermifugés, tatoués avec numéros d’identification, ainsi que carnets de santé à jour. De plus, ces petites bêtes sont sociables avec les enfants et les autres animaux. Pour que le tout soit plus réaliste, ils vous demandent de les contacter par courriel afin de vous envoyer plus de photos et d’informations sur le petit chien. Ensuite, pour continuer à vous faire rêver et à bien vous appâtez, ils vous demandent par courriel des informations sur votre famille et votre style de vie pour être sûrs que le petit animal soit supposément heureux et entre bonnes mains.

Lorsque vous êtes intéressé à voir l’animal ou à aller le chercher:

C’est là que la deuxième partie de l’arnaque débute. Ils vous mentionnent qu’il y a une erreur dans l’annonce, mais qu’ils sont à l’étranger pour plusieurs raisons et vous disent qu’ils connaissent une bonne compagnie de transport pour animaux et que vous n’avez que les frais de transport à payer. Lorsque vous acceptez, ils vous donnent la marche à suivre pour acquitter les frais encourus. Je vous laisse deviner la suite avec votre dépôt d’argent.

Heureusement, dans notre cas, lors du courriel où ils nous mentionnaient qu’ils étaient à l’étranger nous avons bloqué tout contact. Par la suite, trouvant cette méthode assez particulière pour acquérir un chien, j’ai effectué des recherches sur les chiens à donner et à bas prix pour m’apercevoir assez rapidement en lisant sur les blogues que c’était une pratique assez répandue, et cela, à travers le monde.

C’est quand même possible de trouver un chien à donner ou à acheter bas prix sur les sites des petites annonces, la preuve, c’est que notre couple d’amis, en ont trouvé un. Mais avant de débourser, il est préférable d’avoir l’animal dans vos bras.

Si vous avez été témoin d’une arnaque sur internet, dites-vous qu’un cybercrime est un crime au même titre qu’un vol ou qu’une agression. Vous pouvez porter plainte à votre service de police municipale ou bien à la  Sûreté du Québec